Quentin Drogoul
Posts by Quentin Drogoul:
STAGES VACANCES TOUSSAINT
Du Lundi 23 au Vendredi 27 Octobre, de 10h à 12h30, adultes/ados
« Peindre la nature »
Acrylique/huile/crayons
– Initiation au dessin naturaliste.
– Exercices sur fond noir : donner de la profondeur à la couleur.
– Étude des formes et graphismes.
– Réalisation d’une toile.
Tarif : 170 €
Jeudi 2, et Vendredi 3 Novembre
De 10h à 12h 30, et de 14h à 16h30, adultes/ados
Pique nique partagé sur place
»Le jeu de la forme et de l’équilibre »
Céramique sans tour avec Tania
– Sur quatre séances, expérimenter des techniques de façonnage pour atteindre de beaux formats.
– Créer un ou plusieurs objets en travaillant la forme, le design.
– Technique de la plaque.
– Finitions, effets de matières…
Tarif : 150 € ( Ne comprend pas l’achat de la terre et la cuisson)
SOPHIE BURBALOFF
« J’essaye les épaisseurs, les transparences, travaille encore et toujours le trait, la trace, jusqu’à trouver celle qui me correspond et avec laquelle je pourrais traduire une émotion visuelle. C’est une exploration permanente où la technique et le hasard se croisent, avec des choix différents. Cette recherche fait aussi évoluer mes sujets, peut-être vers plus de poésie ou d’abstraction … »
CELIA SMITH
Certains artistes utilisent le crayon, moi j’utilise le fil de fer comme moyen plastique. Il va sans dire que je suis une collectionneuse de fils. Ramasser un morceau de métal rouillé dans un champ, ou trouver un câble électrique écrasé sur une route, c’est comme trouver des petits trésors. Les parcs à ferraille sont mes endroits préférés, les textures et les tas de fils sont très inspirants. Je recherche intentionnellement des fils de fer anciens, atypiques rouillés et corrodés.
En les collectant, j’ai l’impression de collecter les lignes avec lesquelles faire mes dessins. Certains sont audacieux et épais comme un trait au marqueur, d’autres sont fins comme des cheveux ou des traits de crayon très fins.
Mon travail se concentre sur les oiseaux dessinés lors de mes voyages dans la nature ou dans les îles.
LAURENT LAMARE
Entre musique et arts plastiques, la vie de Laurent LAMARE a toujours baigné dans une aura créatrice. Né à Paris, autodidacte, il pratique l’huile et s’exerce dans les paysages urbains. Il vit et travaille aujourd’hui dans le Morbihan. Ses toiles ont toutes un point commun, le jeu d’ombre et de lumière, dans lequel on retrouve un peu du style de l’Américain Edward Hopper.
Lucie MALBEQUI
Lucie MALBÉQUI est diplômée des Beaux-Arts de Lyon et habite sur la presqu’île depuis l’année dernière. Son travail donne forme à des objets sculpturaux et utilitaires qui rappellent la courbe des plantes et leur langage. C’est lors d’évènements, souvent pendant les vernissages, qu’elle invite le public à utiliser ses œuvres, à manger dedans, à sentir et à toucher.
Donner des cours n’est pas seulement un moyen de transmettre un savoir mais également d’apprendre les uns, les unes des autres. Créer des formes ensemble, permet de trouver sa place au sein du groupe, d’œuvrer pour une cause qui nous anime et nous amuse.
Quand la voir aux Térébinthes ?
Les ateliers Objets et Matières assurés par Lucie MALBÉQUI sont le SAMEDI sur 2 créneaux horaires : 9h-12h pour les adultes et 14h-17h pour les enfants.
ARNAUD GRAPPIN
Arnaud Grappin est un peintre et illustrateur français, né le 15 décembre 1972 à Fresnes et mort le 18 juillet 2019 à Curis-au-Mont-d’Or près de Lyon.
Il était diplômé de l’école Emile Cohl (juin 1997) ; il a habité de 2011 à 2019 au 9 avenue Charles de Gaulle 91400 Orsay.
Poème sur Arnaud, écrit le 15 août 2019 par Juana Huertas, musicienne, écrivaine et poétesse
A Arnaud Grappin
A tous ces visages auxquels tu donnais vie
Rien n’arrêtait ces gestes emplis de lumière
Nul ne te dictait les lois d’un art accompli ;
A tous ces regards figés dans une prière
Une existence se révélait sans répits,
Divulguant le secret de tous ces caractères…
Génération d’un mouvement incompris
Règne d’un roi devenu très solitaire
Avec une sensibilité investie
Par ces nombreuses valeurs humaines, sincères,
Par cette sensibilité indéfinie
Indescriptible orientation, non délétère
Nudité exacerbée, flamme qui sourit
Ciao l’Artiste !
CHRISTELLE DUPAQUIER
Artiste de tous les paradoxes, Christelle Dupaquier favorise une approche créative libre et instinctive.
Délibérément autodidacte, elle approfondit son apprentissage des techniques mais également celui des exigences du matériau qu’elle choisi.
Depuis longtemps, la féminité se situe au centre de son inspiration.
Passionnée également par l’expression et le comportement humains, l’artiste s’est orientée, dans le même temps, vers la recherche d’un travail plus spontané, plus brut.
Résolument ancrée dans la terre, Christelle Dupaquier s’en est pourtant récemment détachée pour s’intéresser au bronze.
GERARD FALLY
Gérard Fally est né en 1951 à Malakoff dans les Hauts de Seine. Diplômé de l’École des Arts Appliqués puis de l’École des Beaux Arts de Paris en 1972, il enseigne le dessin, crée un studio d’arts graphiques, est directeur artistique en agence et, enfin, jardine et peint.
Chez Gérard Fally, la peinture est comme une religion. Pas un jour sans peindre, sans observer et saisir toute l’intensité de la lumière. Celle-ci requiert toute son attention car il s’agit de trouver «l’instant décisif », la nuance qui sera retenue sur la toile pour sublimer la nature morte. Le terme n’est d’ailleurs pas approprié pour parler du travail de cet artiste ; il lui préfère l’expression flamande de « vie silencieuse ». Quand on voit le travail de Gérard Fally, on est en effet frappé par la densité de celui-ci, la profondeur qui se dégage d’un simple coing, d’un panier de fruits ou encore d’un chemin de campagne. On est happé par la peinture : on pénètre alors solitaire dans cette « vie silencieuse », intense et simplement belle.
Sa passion pour la nature et son jardin potager se retrouve dans ses « vies silencieuses » qu’il peint sur le vif et où ses modèles sont ses fruits, ses fleurs et ses légumes. Sensible à l’authentique, il cultive d’anciennes variétés de tomates, bourrache, panais, raves, raifort, vitelotte… Il restitue avec réalisme le détail éphémère. Les lumières explosent, la couleur sature et la toile se fait vitrail. Ses sujets sont vivants avec leurs cicatrices, leurs défauts et leurs qualités. Tous sont harmonieusement mis en scène, sur un plan d’équité, comme il voudrait que soit le monde.
Il présente ainsi des toiles tous formats qui semblent se répondre : les poires en conférence, les asperges en bottes, les citrons en échafaudage… Il nous permet surtout de regarder d’un œil neuf ces fruits, ces fleurs et ces légumes que nous côtoyons depuis toujours et leur donne une âme. Gageons que ses peintures, à l’heure bienvenue du bio et de la consommation raisonnée feront des émules !